Les photos choisies illustrent essentiellement trois aspects: d’abord les fractures temporelles qui conditionnent l’animation sur le parvis (jour/soir/nuit ou bien matin /pause déjeuner/sortie bureaux ou encore week-end /semaine) , ensuite la variété d’usagers qui fréquentent le parvis(travailleurs des tours, touristes, habitants ,franciliens) et, en fin, les éléments artistiques (œuvres d’art, Grande Arche) qui font de cet espace public un endroit à part. J’ai choisi tous ces aspects pour exprimer les diverses ambiances que le parvis de la Défense crée surtout à travers la présence humaine qui insuffle de la vie à cet univers de la dalle.
vendredi 4 décembre 2009
Simona Stanca
Les photos choisies illustrent essentiellement trois aspects: d’abord les fractures temporelles qui conditionnent l’animation sur le parvis (jour/soir/nuit ou bien matin /pause déjeuner/sortie bureaux ou encore week-end /semaine) , ensuite la variété d’usagers qui fréquentent le parvis(travailleurs des tours, touristes, habitants ,franciliens) et, en fin, les éléments artistiques (œuvres d’art, Grande Arche) qui font de cet espace public un endroit à part. J’ai choisi tous ces aspects pour exprimer les diverses ambiances que le parvis de la Défense crée surtout à travers la présence humaine qui insuffle de la vie à cet univers de la dalle.
jeudi 3 décembre 2009
mercredi 2 décembre 2009
Isaline Thomas
J’ai voulu saisir avec la photographie l’ambiance du parvis, mais il n’existe pas une mais plusieurs ambiances. Cela dépend du recoin de la dalle, des personnes qui s’y présentent … mais surtout l’atmosphère change en fonction de la lumière du soleil, de son intensité ou de son inexistante. Le minéral de la dalle additionné avec l’architecture de verre donnent des reflets éblouissants au levé du jour. Dès lors que le soleil disparait, le parvis redevient d’une froideur qu’on lui connait.
L’intérêt de cette expérience, était de capturer photographiquement se mélange de personnes que l’on ne pense pas voir à la Défense avec celles que l’on s’attend à voir. Bien sûr, les cols blancs sont omniprésents mais on peut y voir des retraités, des habitants, des jeunes qui viennent se retrouver ou des touristes qui arrivent dans un lieu qu’il ne maitrise pas. Ce brassage de population rend la Défense plus ordinaire, plus accessible qu’au premier abord…
L’intérêt de cette expérience, était de capturer photographiquement se mélange de personnes que l’on ne pense pas voir à la Défense avec celles que l’on s’attend à voir. Bien sûr, les cols blancs sont omniprésents mais on peut y voir des retraités, des habitants, des jeunes qui viennent se retrouver ou des touristes qui arrivent dans un lieu qu’il ne maitrise pas. Ce brassage de population rend la Défense plus ordinaire, plus accessible qu’au premier abord…
mardi 1 décembre 2009
Myrtille Pichon
Ce travail de photographie à la Défense suit deux fils conducteurs.
D’une part, j’ai souhaité travailler sur les contrastes qui apparaissent entre la forme du lieu et les usages qui s’y inscrivent – qui s’y infiltrent. Le lieu étant en quelque sorte extraordinaire, du fait de son architecture en rupture avec la ville traditionnelle et de sa fonction principale de quartier d’affaires, les usages banals qui y prennent place semblent rentrer en opposition avec lui.
D’autre part, j’ai cherché à rendre compte des mouvements et des déplacements quotidiens comme d’une sorte de chorégraphie spontanée mais très déterminée, normée, qui s’établit sur la dalle. Une dynamique apparaît dans l’opposition entre les flux denses et rapides et les positions statiques, immobiles, opposition qui montrent également les différentes temporalités marquant la dalle.
Ces photos cherchent ainsi à rendre compte de la mise en scène des usages quotidiens, des déplacements et des évènements au sein de cet espace grandiose, à travers un travail sur les jeux d’ombres et de lumières et sur les différents cadres créés par l’architecture, le mobilier urbain et les diverses installations qui jalonnent la dalle.
dimanche 29 novembre 2009
Juliana Bertolucci Torres
Dans cette étude photographique nous avons eu une approche sur plusieurs éléments de composition d’une image représentative de la Défense. Les flux, les gens qui marchent dans des directions différentes et des groupes sont notre sujet.
La composition des images est équilibrée avec les gens et les énormes objets qu’on peut trouver à la Défense, or les tours or les oeuvres d’art, etc.
Les flux, spécialement ceux du matin, sont bien expressifs et du coup on peut trouver différentes images. Ce sont des photos composites, les éléments sont disposés de façon à guider le regard chaque instant à un point différent.
La marche, activité principale à la Défense, est prise dans différents moments du jour. Ainsi, on voit les différents types de « marche » qui se passent dans le site. Le matin, la marche est plus rapide et elle a un but précis ; l’après-midi par exemple, on trouve des flux de gens plus diffus dans différentes directions et sans la même rapidité que le matin.
Parfois, c’est aussi possible de voir les expressions de touristes qui arrivent à la Défense. Toujours un peu perdus, ils ont une marche plus calme. Ils ont le regard plus haut en essayent de comprendre l’espace qui les entoure.
Tout cela fait partie de notre diagnostic sur l’espace public du parvis de la Défense. La photo, une dimension sensible, montre avec clarté les groupes d’usagers de cet espace dans différents moments de la journée.
Erica Zaiden Benvindo
La photographie nous aide à observer les moments qui passent trop rapidement et nous laisse un registre atemporel qui nous révèle des surprises jamais vues, sans un regard en profondeur. Cette expérience, dont nous faisions partie, nous a présenté la diversité des usagers, usages et activités. Cette période d'immersion sur le terrain a certainement contribué à une nouvelle perception, une perception plus sensible de l’espace.
Peut-être pour une question de préférence personnelle, ma première incursion dans le champ était plus concentrée sur les personnages qui composent cet espace. Je me suis intéressé à savoir qui est assis sur les marches de la grande arche à des horaires différents, qui marche à travers la dalle hors heures de pointe, qui exploite les événements, se sert du mobilier urbain, et qui entre ou quitte les métro/RER et les principaux bâtiments de ce quartier d’affaire.
Cet intérêt m’a forcé à avoir un comportement un peu invasive, afin de mieux enregistrer les expressions personneless, sans prendre la peine d'enregistrer ce qui se passait dans l’environnement. Pour cette raison, une partie importante de mes photos ne contribuerait pas à illustrer le travail de diagnostic réalisé par l’atelier. Déterminée, donc, à saisir mon objet photographique (les usagers) dans un paysage urbain, j'ai commencé à récupérer le contexte spatial dans lequel ils étaient. Par conséquence, j’ai mis une distance avec ces usagers pour prendre des photos où ces personnages participent.
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